Crédit d'investissement
2 March 2023
Luc est un petit entrepreneur prospère, offrant des services dans le domaine des logiciels et du matériel informatique. Mais soudain, les lumières s'éteignent. Son client fait faillite et Luc reçoit une révision d'impôts et de cotisations de sécurité sociale. Est-ce que ce sera aussi sa fin ?
Luc est un petit entrepreneur. Il possède une entreprise individuelle et propose des services dans le domaine des logiciels et du matériel informatique. Il ne se plaint pas et compte une entreprise de taille moyenne parmi ses principaux clients. Mais soudain, les lumières s'éteignent. Son client fait faillite et ne règle donc pas ses factures avec lui. Pour ne rien arranger, Luc reçoit une révision des impôts et des cotisations sociales. Il doit payer 40.000 euros. De l'argent qu'il n'a pas. Est-ce que ce sera aussi sa fin ?
Il y a quelques années, Luc était à juste titre heureux et fier de compter cette entreprise parmi ses clients. Elle lui offrait la sécurité de l'emploi et donc des revenus. Mais voilà que son client fait faillite.
Comme pour toute faillite, un administrateur judiciaire ou curateur est alors nommé. Celui-ci va alors vérifier qui sont les créanciers sur la base des comptes. Le curateur écrit alors à chacun pour qu'il remette sa déclaration de créance.
Lorsque tous les créanciers l'ont fait, le curateur peut commencer la liquidation et la répartition.
Luc a déposé sa déclaration dans les délais, mais il craint qu'il ne lui reste rien.
Après tout, Luc n'est pas un créancier privilégié. Un créancier privilégié a un rang supérieur aux autres créanciers.
Quels sont les créanciers traditionnels ?
Dans la faillite d'une entreprise moyenne, ce sont aussi les créanciers privilégiés.
Après avoir parlé avec le syndic, Luc sait maintenant qu'il n'est pas un créancier privilégié et qu'il n'y a probablement pas assez d'argent disponible pour rembourser chaque créancier chirographaire.
Un créancier chirographaire est quelqu'un qui, tout en ayant une créance sur le failli, n'a aucun privilège. Il est donc un créancier "ordinaire" et vient à la fin de la file d'attente lors de la répartition ou doit répartir le produit entre les autres créanciers chirographaires.
Luc est donc un créancier ordinaire.
Les affaires ont été bonnes pour Luc depuis le début. Il a commencé avec quelques petits clients. Très locaux.
Grâce à un événement de réseautage, il entre en contact avec le directeur d'une entreprise de taille moyenne. Luc peut commencer avec quelques petits projets en tant que pigiste et soutien au département. Comme Luc travaille dans un créneau spécifique et possède l'expertise nécessaire, il obtient davantage de missions. Il travaille quasiment à temps plein pour cette entreprise et n'a plus le temps de prospecter ou d'assurer le suivi des clients existants.
Ses revenus dépendent donc entièrement de cette entreprise de taille moyenne. C'est dangereux quand le client fait faillite. Luc en fait aujourd'hui l'expérience.
On observe régulièrement ce phénomène chez les petits indépendants. Ils travaillent alors pour un gros client et ne se rendent pas compte que cela met en danger leur propre indépendance financière.
Pour ne rien arranger, Luc obtient une révision des impôts et des cotisations sociales pendant la même période. Au total, il devra cracher environ 40 000 euros à court terme.
Si l'on tient également compte de la perte des revenus de l'entreprise en faillite, le problème est de taille. Il craint que cela ne l'entraîne dans un drame financier et menace de perdre son logement.
Luc est gêné d'une certaine manière. Comment a-t-il pu en arriver là ? En désespoir de cause, il prend rendez-vous avec son comptable pour chercher une solution. Comment peut-il faire face à ce stress temporaire de liquidité ?
Son comptable lui parle de notre spécialiste du crédit et lui conseille de prendre rendez-vous le plus rapidement possible. Aussitôt dit, aussitôt fait.
La même semaine, Luc prend rendez-vous avec notre spécialiste en crédit et les calculs nécessaires sont effectués.
Heureusement, Luc est à l'heure. Notre spécialiste en crédit trouve une solution avec l'un des partenaires de crédit. Un drame financier et humain est ainsi évité.
Le cas de Luc n'est pas un cas isolé. Le message reste d'agir au plus vite, de déclarer ses dettes et de voir plus loin. Luc a obtenu un nouveau prêt hypothécaire et s'est remis sur les rails. Il a appris de ses erreurs et a maintenant d'autres "petits" clients. Si l'un d'entre eux tombe, il a toujours un filet de sécurité avec les autres.
Risquez-vous de vous retrouver dans une situation similaire ? Alors n'attendez pas trop longtemps et prenez rendez-vous dès aujourd'hui.